Suite aux deux représentations de la pièce chorégraphique TO LIFE de SUZANNE qui ont eu lieu au Théâtre de L’étoile du nord lors du Festival IMMERSION DANSE le 3 et 4 avril dernier, « À voir et à danser » nous partage son expérience et son ressenti du spectacle à travers un article sensible.

« Malgré cette noirceur affichée, ce paysage post-apocalyptique, TO LIFE s’affirme comme une ode à la vie à travers ses gestes de solidarité, de partage, son chant, sa marche vers un avenir dont on n’est pas assuré pourtant qu’il sera radieux. »

https://avoiretadanser.fr/to-life-lode-a-la-vie-de-suzanne-au-festival-immersion-danse/

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Jeudi 29 août dernier, SUZANNE avant l’immense plaisir de jouer la première de son spectacle TO LIFE à La Mégisserie à Saint-Junien dans le cadre du Festival CHAMP LIBRE : une belle façon de commencer cette nouvelle saison 2024-2025.

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Vendredi 13 et Samedi 14 Janvier dernier, SUZANNE a eu l’immense plaisir de présenter une étape de travail de 20 minutes de sa future création TO LIFE, lors du plateau partagé OPEN SPACE au Théâtre de L’étoile du nord à Paris. L’occasion pour SUZANNE de tester les prémices de sa nouvelle création devant une salle remplie et de recueillir les premières impressions.

Et c’est « À voir et à danser« , blog consacré à la danse, qui se lance le premier dans un article joliment écrit. L’occasion de prendre aussi quelques clichés de la représentation.

« En l’espace d’une vingtaine de minutes, par touches successives, les contours d’un monde futuriste, voire peut-être même post-apocalyptique, semble se dessiner. Une humanité marche vers son destin dont on ne sait encore, à ce stade de la création, ce qu’il en adviendra. Suzanne fait de la marche la métaphore d’un acte de résistance au sein de laquelle semblent pouvoir se reconstituer des formes de solidarités. »

https://blog.avoiretadanser.fr/2023/01/to-life-de-suzanne-au-festival-open.html

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Le 21 septembre dernier, lors de la 9ème édition du prix AICA France de la Critique d’Art, le groupe SUZANNE est présenté par le curateur indépendant Léo Marin. Une présentation orale inspirée du principe du PechaKucha : 20 images chacune commentées pendant 20 secondes pour une durée totale de 6 minutes et 40 secondes. Un format performatif qui s’applique à la critique d’art et qui offre la possibilité à un large public de découvrir des artistes et des œuvres qui n’ont pas encore obtenu l’attention qu’ils méritent.

Léo Marin prend le pari de présenter un groupe de peformeur.euse.s, des danseur.euse.s, un corps multiple dans un exercice où les critiques d’art choisissent généralement un.e artiste ou bien encore un groupes d’artistes avec des oeuvres choisies. C’est aussi pour lui l’occasion d’inscrire sa collaboration avec le groupe SUZANNE dans le temps tout en l’intégrant dans la continuité de son sujet de recherche de prédilection : l’insularité.

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Sous la direction de Sylvia Varagne, la première édition du festival l’Appel du Large a offert à une trentaine d’artistes dont le groupe SUZANNE de nouveaux espaces de rencontres entre front de mer, planches, bains pompéiens et espaces publics.    

C’était aussi (l’immense) chance, après une période post confinement 2.0, de réinvestir l’espace public et de proposer à nouveau, au passants curieux et aux quelques touristes la performance STATU, première création de la compagnie, qui n’avait pas été jouée depuis juin 2019 à Vilnius dans le cadre du Vilnius Art Fair. Dans un contexte de pandémie globale qui a limité les occasions de diffusion et d’échanges pour les artistes, les rencontres entre public et artistes et artistes ont été le nerf de la guerre de cette première édition de L’appel du Large.

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Malgré une édition marquée par la pandémie et la fermeture de grands nombres de musées, d’institutions et de sites associés avant minuit, le groupe SUZANNE a réussi le pari de montrer au public parisien une création inédite mêlant installation monumentale, vidéo projection en live, déplacements et mouvements minimalistes et chant polyphonique. Cette performance « CANON« , présentée dans la Cour d’Honneur du Musée des Archives Nationales lors de cette Nuit Blanche, a attirée la curiosité du magazine Toute La Culture et ressort dans les coups de coeurs de Eliaz Ait Seddik.

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À l’occasion de la 13ème édition du festival JERK OFF au Point Ephémère, Samuel Belfond et Anne-Charlotte Michaut de MANIFESTO.XXI sont venus à la rencontre des membres du groupe SUZANNE le 10 septembre au sortir de la générale de « MERCURES« . Ils échangent autour de leur rapport à l’erreur dans la création chorégraphique et de comment celle-ci s’immisce comme un fil conducteur de l’élaboration d’un nouveau langage que le groupe SUZANNE tente d’introduire au sein d’un triptyque qui comprend « STATU » (2018), « MERCURES » (2019) et « CANON » (2020).

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C’est dans un contexte absolument nouveau (celui de la pandémie) que SUZANNE a eu l’immense chance de recevoir l’invitation de Bruno Peguy  (directeur artistique du festival JERK OFF) de présenter “MERCURES” lors de la 13ème édition du festival JERK OFF qui a eu lieu au Point Éphémère à Paris. Deux représentations le même soir du vendredi 11 septembre, à 19h et à 21h30. Thomas Adam-Garnung, rédacteur en chef du magazine en ligne Ballroom Online était dans le public à la rencontre de SUZANNE.

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C’est dans son rapport à l’erreur et au hasard que la vidéo de mise en scène de sa performance “STATU” est venu répondre à la thématique “RESET” et de ce fait SUZANNE intègre la toute dernière édition du festival Art Souterrain. Présentée en continu pendant toute la durée du festival, la vidéo a suscité de nombreuses réactions. Charlotte Dibon du magazine Esse arts + opinions permet à SUZANNE d’avoir son premier papier dans la presse canadienne spécialisée dans l’art contemporain et les pratiques pluridisciplinaires depuis 1984 !

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