Plusieurs mois après les deux représentations de TO LIFE au Théâtre de L’étoile du nord (avril 2025), Tracy Danison, journaliste artistique et directeur du blog « The Best American Poetry » nous parle du spectacle à travers ses souvenirs et ses ressentis.
C’est à travers un article tout en analyse et en sensibilité que Béatrice Lapadat nous livre, pour le média en ligne Cult.News, ses impressions et ressentis après avoir assisté à l’une des deux représentations de la pièce chorégraphique TO LIFE de SUZANNE qui ont eu lieu au Théâtre de L’étoile du nord lors du Festival IMMERSION DANSE les 3 et 4 avril dernier.
« Née du désir de « surmonter ces crises, ces pandémies, ces guerres et ces conflits » qui hantent le monde, la performance To Life du Groupe Suzanne, co-dirigé par les chorégraphes-interprètes Julien Chaudet, Julien Deransy et Eurydice Gougeon-Marine, propose la marche comme action à la fois thérapeutique et militante. »
Commentaires fermés sur Cult.News parle de TO LIFE a travers une analyse sensible et précise de la pièce chorégraphique : un article signé Béatrice Lapadat.
Suite aux deux représentations de la pièce chorégraphique TO LIFE de SUZANNE qui ont eu lieu au Théâtre de L’étoile du nord lors du Festival IMMERSION DANSE les 3 et 4 avril dernier, c’est au tour de Ballroom Revue Online de nous donner ses impressions sur le spectacle et de nous transporter grâce à aux mots, si justement choisis de Thomas Adam-Garnung, dans l’univers de la dernière création de SUZANNE.
« Le concept pourrait sembler simple, presque naïf : marcher ensemble pour résister. Mais l’exécution, elle, est d’une redoutable complexité. À force de variations de rythmes, de trajectoires, d’infimes décalages, To Life expose la virtuosité silencieuse du collectif. Ce parti pris du risque, d’oser l’imperfection visible, les désynchronisations fugaces, les maladresses humaines, est profondément courageux. Car ici, le ballet n’est pas fait pour étourdir par sa perfection ; il est fait pour rappeler que même dans la marche la plus rigoureusement orchestrée, l’humain, fragile, affleure. »
« Malgré cette noirceur affichée, ce paysage post-apocalyptique, TO LIFE s’affirme comme une ode à la vie à travers ses gestes de solidarité, de partage, son chant, sa marche vers un avenir dont on n’est pas assuré pourtant qu’il sera radieux. »
En Novembre 2024, SUZANNE a rencontrer « À voir et à danser« , blog consacré à la danse, lors d’une petite entrevue chaleureuse pour y parler de son parcours, de son identité et de la création de sa dernière pièce chorégraphique TO LIFE qui sera joué le 3 & 4 avril au Théâtre de L’étoile du nord lors du Festival IMMERSION DANSE.
« À voir et à danser suit SUZANNE depuis ses débuts. Nous avions découvert STATU à la Cité des Arts de Paris en 2018, une performance pour dix interprètes qui suivait un protocole algorithmique qui nous avait captivé. Depuis, nous avons assisté aux créations MERCURES et FAIX en 2022. En avril 2025, SUZANNE sera au Théâtre de l’Étoile du Nord pour présenter TO LIFE sa dernière création dans le cadre du festival Immersion danse. En attendant cette première parisienne, nous avons rencontré et posé quelques questions à ses trois directeur rice’s : Eurydice Gougeon-Marine, Julien Chaudet et Julien Deransy. »
Jeudi 29 août dernier, SUZANNE avant l’immense plaisir de jouer la première de son spectacle TO LIFE à La Mégisserie à Saint-Junien dans le cadre du Festival CHAMP LIBRE : une belle façon de commencer cette nouvelle saison 2024-2025.
En résidence au Centre national de la Danse (CN D de Pantin), SUZANNE a ouvert la porte de son studio le 17 novembre 2024 pour présenter une étape de travail de sa prochaine pièce TO LIFE, une pièce pour 7 interprètes, en cours de création.
L’occasion pour « À voir et à danser » (blog consacré à la danse), qui suit la création TO LIFE depuis ses débuts, d’écrire une chronique / portfolio sur cette pièce en cours de création et dont la première est attendant pour août 2024.
« Une gestuelle se dessine et s’affine qui n’en évacue pas pour autant la polysémie possible du geste. Des regards plus appuyés, derrière soi, ou dans des diagonales hautes et basses dessinent un espace plus vaste que celui d’un simple couloir de marche. Celui d’un monde qu’on abandonne et un autre en devenir ? »
Vendredi 13 et Samedi 14 Janvier dernier, SUZANNE a eu l’immense plaisir de présenter une étape de travail de 20 minutes de sa future création TO LIFE, lors du plateau partagé OPEN SPACE au Théâtre de L’étoile du nord à Paris. L’occasion pour SUZANNE de tester les prémices de sa nouvelle création devant une salle remplie et de recueillir les premières impressions.
Et c’est « À voir et à danser« , blog consacré à la danse, qui se lance le premier dans un article joliment écrit. L’occasion de prendre aussi quelques clichés de la représentation.
« En l’espace d’une vingtaine de minutes, par touches successives, les contours d’un monde futuriste, voire peut-être même post-apocalyptique, semble se dessiner. Une humanité marche vers son destin dont on ne sait encore, à ce stade de la création, ce qu’il en adviendra. Suzanne fait de la marche la métaphore d’un acte de résistance au sein de laquelle semblent pouvoir se reconstituer des formes de solidarités. »
Du 9 au 13 mai dernier, SUZANNE a eu l’immense privilège d’être accueillie en résidence au Ballet du Nord – CCN & Vous de Roubaix. Ce fut l’occasion pour SUZANNE de terminer l’écriture chorégraphique de sa pièce MERCURES, accompagnée de la musique créée par le compositeur Romain Poirier aussi connu sous le nom de Niamor.
L’enjeu de cette résidence était tout nouveau et de grande ampleur pour SUZANNE : présenter pour la première fois publiquement le version finale de MERCURES accompagnée de la musique de Romain Poirier avec qui SUZANNE collabore également pour la première fois.
Le 21 septembre dernier, lors de la 9ème édition du prix AICA France de la Critique d’Art, le groupe SUZANNE est présenté par le curateur indépendant Léo Marin. Une présentation orale inspirée du principe du PechaKucha : 20 images chacune commentées pendant 20 secondes pour une durée totale de 6 minutes et 40 secondes. Un format performatif qui s’applique à la critique d’art et qui offre la possibilité à un large public de découvrir des artistes et des œuvres qui n’ont pas encore obtenu l’attention qu’ils méritent.
Léo Marin prend le pari de présenter un groupe de peformeur.euse.s, des danseur.euse.s, un corps multiple dans un exercice où les critiques d’art choisissent généralement un.e artiste ou bien encore un groupes d’artistes avec des oeuvres choisies. C’est aussi pour lui l’occasion d’inscrire sa collaboration avec le groupe SUZANNE dans le temps tout en l’intégrant dans la continuité de son sujet de recherche de prédilection : l’insularité.